Nouveau dossier : Démarrer son entreprise au Québec

Se lancer en affaires, voici une aventure que nombre d’entre vous ajouteront à celle de l’immigration. Parce que quitter son pays, c’est déjà oser, prendre des risques, aller jusqu’au bout de ses idées… Quitter son pays pour aller vivre ailleurs, c’est entreprendre! Alors ce n’est pas étonnant que vous ayez envie de poursuivre le voyage en concrétisant – pour beaucoup – un rêve : créer son entreprise, vendre ses produits et ses services, ouvrir sa boutique, travailler en autonome…

Le Québec offre de belles perspectives aux entrepreneurs en leur proposant des mesures fiscales avantageuses, des possibilités de financement, de l’accompagnement au démarrage d’entreprise. Les ressources sont nombreuses et, comme le souligne notre entrepreneur experte Juliana Zerda (à lire p 21 du dossier), « la première chose à faire quand on veut se lancer en affaires au Québec est de se laisser aider ». Que demander de mieux! Mais si se lancer en affaires est une aventure palpitante, c’est un choix qui se prépare, qui se planifie. C’est en quelque sorte un dépassement de soi qui demande à la fois ténacité et humilité. Comme aime à le rappeler Elena Vendittelli Faita, propriétaire de la réputée Quincaillerie Dante, « il faut s’intégrer et apprendre la culture d’accueil » et surtout « la seule façon de réussir, c’est de travailler beaucoup. » Vous voilà prévenus! Nous vous souhaitons le meilleur des succès dans votre aventure entrepreneuriale.

À télécharger gratuitement sur : http://www.immigrantquebec.com/fiche-thematique/demarrer-son-entreprise-au-quebec/

Au sommaire de ce dossier

• Une analyse sur l’entrepreneuriat au Québec.
• Des entrevues avec des experts, Elena Venditeli Faita, « Ne gardez pas votre culture juste pour vous » et Juliana Zerda, « 10 erreurs à ne pas commettre en affaires ».
• Des témoignages d’immigrants : Être prêt à faire des sacrifices ; Le réseau : la clé du succès ; Comment financer son projet ; Trouver les bons interlocuteurs ; Un soutien au travailleur autonome ; S’adapter au marché du travail québécois.
• Des encadrés : Trouver le bon réseautage ; Se faire mentoré ; Communiquer en français ; Savoir compter ; Se conformer aux permis, aux licences et aux droits de la propriété intellectuelle ; S’entourer d’un avocat en affaires et d’un notaire ; Tout savoir sur les obligations fiscales.
• Un carnet d’adresses pour trouver le bon interlocuteur.