Le français, un obstacle
Certains des candidats ont un niveau de français impressionnant,
constate Annik Battisti. Mais ce n’est pas le cas de la majorité des candidats.
Pour l’entreprise de conception de jeux vidéo Ubisoft, qui cherche des programmeurs spécialisés, le faible niveau de français des candidats s’est avéré un obstacle à l’embauche.
Mais Ubisoft a tout de même identifié suffisamment de talents potentiels au Brésil pour vouloir revenir l’année prochaine.
C’est le début de quelque chose ici pour nous. On s’était dit au départ que si l’on réussissait à dénicher une ou deux personnes, notre mission serait rentable parce que, présentement, on embauche des chasseurs de tête, et c’est très dispendieux,
soutient Marie-Andrée Lavoie.
Et au cours de cette mission de cinq jours, j’ai eu un coup de cœur par jour.
Chez CGI, le faible niveau de français de certains candidats pose aussi un problème, mais l’entreprise pourrait décider au cours des prochaines semaines de les embaucher quand même.
Ils ont tellement une belle expertise au niveau technique qu’on pourrait décider de les faire venir à Québec en leur offrant des cours de francisation. Parce que l’expertise qu’ils ont prendrait ici 10 ans à acquérir»,
note Annik Battisti.
Chez Québec International, on trace un bilan très positif de cette mission.
C’était une mission exploratoire dans le seul domaine des technologies de l’information,
explique la vice-présidente au soutien des entreprises chez Québec International, Line Lagacé.
Mais notre objectif est de s’étendre à d’autres domaines et d’assurer une présence permanente au Brésil.
Serge Boire, collaboration spéciale
Le soleil
Fonte: Cyberpresse.ca
oi,
vi informações sobre o Quebec , mas como gaúcho sempre fico desconfiado sera que e fácil assim mesmo, tenho dois filhos , dai fica complicado se jogar assim, e não tenho nenhuma formação especifica , como sera para mim la fora?
vamos ver