Un esprit apaisé
Notre cerveau aime la randonnée pour le bien-être psychologique qu’elle procure. Une étude publiée en 2015 dans Proceedings of the National Academy of Sciences a montré que les personnes qui avaient marché 90 minutes en pleine nature avaient des pensées moins négatives et une activité neuronale plus réduite dans le cortex préfrontal subgenual – une zone du cerveau liée à la maladie mentale – que ceux qui avaient marché en milieu urbain.
Bon pour la créativité
Marcher au grand air permet de faire une véritable diète digitale. Le temps passé ainsi dans la nature, privé de toute technologie et de bruits perturbateurs peut réduire le stress et aussi stimuler la créativité et la pensée complexe. En 2012, des chercheurs britanniques ont constaté que la performance sur les tâches nécessitant la résolution de problèmes avait été améliorée de 50 % pour les participants qui ont passé plusieurs jours dans un environnement naturel.
Une concentration améliorée
Une concentration en berne et du mal à contrôler ses pulsions? Bouger au grand air peut se révéler bénéfique. Pour des enfants atteints d’un trouble d’hyperactivité de déficit d’attention (TDHA) qui ont des difficultés à rester concentrés, les «activités de plein air» peuvent réduire considérablement leurs symptômes, selon une étude américaine menée en 2004
Un porte-monnaie allégé
Cela ne concerne pas la santé, mais il s’agit d’un argument loint d’être négligeable. La randonnée est un excellent moyen pour passer des vacances sportives et économiques, en famille ou entre amis, et même avec son animal de compagnie. Inutile de mettre la barre trop haut en choisissant un parcours trop compliqué. En forêt, montagne comme en bord de mer, chacun peut adapter sa capacité physique et profiter du paysage en brûlant des calories.
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