Quem é professor aqui?- Área da Educação em Quebéc

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    • #6634
      ijunior
      Participante

      Olá amigos!

      Estou começando a preparar meu processo de imigração. Sou formado em História (bacharelado e licenciatura) pela USP e atualmente estou fazendo um mestrado na mesma instituição.

      Gostaria que pessoas que já estão em Quebéc ou estão se preparando, que também sejam da área da educação colocassem aqui suas experiências, pois estou um tanto inseguro quanto a esta profissão. Sei que para lecionar é necessário fazer a equivalência de estudos, mas como não tenho francês fluente ainda (só intermediário), sei que ficará difícil dar aulas no meu primeiro ou segundo ano em Quebéc, assim gostaria de saber se existem outros campos de atuação para pessoas com formação similar à minha.

      Isso porque me preocupo, além da sobrevivência lá, também sobre o que dizer na entrevista para obtenção do CSQ.

      Aguardo suas considerações!!

      Obrigado!

    • #35652
      gallisa
      Participante


      ijunior, segue um posto de um blog que encontrei na internet, autor: Guigo
      (não se isso quebra teu galho)

      Olá Pessoal,

      Como vocês leram no post que relatou a nossa entrevista, o Monsieur LeBlanc orientou a minha esposa a providenciar a equivalência do seu diploma de professora ainda no Brasil. Esta manhã, portanto, entrei em contato com a Université du Québec en Outaouais (http://uqo.ca/) e eles me instruíram a pedir auxílio ao Ministério da Educação. EXATAMENTE dois minutos depois de enviar o e-mail ao Ministério, a Sra. Louise Beaudoin gentilmente respondeu, enviando um arquivo com todas as informações necessárias para o processo de equivalência do diploma de professor, o que me deixou extremamente feliz e impressionado. Se os serviços públicos no Québec forem sempre assim (ou na maioria das vezes, pelo menos), creio que não teremos problemas. Demonstraram muita agilidade e competência.

      Para os que se encontram na mesma situação, compartilho aqui o arquivo do Ministério da Educação do Québec:

      http://rapidshare.com/files/225239358/Conditions_et_modalit_s-__l_ext_rieur_du_Canada-10_d_c_07.doc

      Pessoal, sei que muitos não se sentem confortáveis com a possibilidade de voltar à sala de aula para validar a sua profissão no Canadá. Mas se analisarem com calma, verão que é um sacrifício mínimo para alguém que busca uma vida melhor em outro país.

      Preparem-se o máximo que puderem e não liguem para os comentários pessimistas de pessoas que, por falta de um bom planejamento, acham que estão sendo iludidos pelo governo canadense quando, na verdade, estão apenas enfrentando problemas altamente previsíveis para um imigrante recém-chegado ao país.

      Deus abençoe vocês abundantemente em Cristo Jesus!

    • #35653
      gallisa
      Participante

      ijunior, procura em FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DES PROFESSEURES ET PROFESSEURS D’UNIVERSITÉ
      http://fqppu.org/
      troca emails, entra em sites e mais sites, muito importante para conhecer o mercado de trabalho..

      trecho do site:

      Devenir professeur d’université au Québec : oui, mais à quel prix ?Devenir professeur d’université au Québec : oui, mais à quel prix ?
      Compte tenu des difficultés d’accès à la carrière et d’un taux élevé de départ lors des premières années d’embauche, le corps professoral doit se mobiliser

      NATHALIE DYKE, Ph.D.
      Chercheure pour la Fédération québécoise des professeures et professeurs d’université (FQPPU)
      Au nom du comité d’organisation du colloque « Du rêve à la réalité »

      Depuis le début des années 2000, les universités au Québec et au Canada ont entrepris de renouveler leur corps professoral après une décennie d’un quasi-gel de l’embauche. Bien qu’il faille saluer cette reprise de l’embauche, la réalité des nouveaux professeurs, dont la grande majorité sont en début de carrière, est fort peu connue.

      Entre 2000 et 2004, une moyenne annuelle de 745 professeurs ont été embauchés dans les universités au Québec. Ce chiffre semble impressionnant, mais il ne permet pas encore de retrouver le niveau des effectifs de 1994, l’année à partir de laquelle les transferts fédéraux vers les provinces pour l’éducation postsecondaire ont été coupés de façon draconienne.
      Cette année, pour la première fois de l’histoire du Québec, toutes les universités annoncent un important déficit budgétaire au point où plusieurs ont décidé de freiner les embauches. Or, le sous-financement chronique des institutions universitaires a un impact énorme sur les conditions de travail et l’insertion des professeurs qui s’intègrent dans un milieu bien différent de celui d’il y a 20 ans.

      À la suite d’une enquête réalisée en 2006, la FQPPU a découvert que 29 % des recrues avait quitté le milieu universitaire à l’intérieur des cinq premières années d’embauche. Comme il était impossible de connaître leurs motifs de départ, y compris les principales disciplines et universités qui ont perdu leurs professeurs, la FQPPU a entrepris une tournée provinciale pour prendre le pouls des recrues en poste. Sous le couvert de l’anonymat, une soixantaine de nouveaux professeurs de différentes disciplines se sont exprimés en groupes de discussion dans huit universités de la province. Ces professeurs ont rapporté suffisamment de points de tension communs pour que l’on s’interroge sur les conditions de travail et la carrière professorale.

      Difficultés rencontrées
      Qu’ils travaillent en région, à Montréal ou à Québec, les professeurs en début de carrière se heurtent aux mêmes difficultés. La question du financement de la recherche est ressortie de façon dominante. Alors que ces nouveaux professeurs doivent s’établir en recherche et que l’accès à la permanence d’emploi repose en grande partie sur leur performance dans ce domaine, le manque chronique de ressources et le combat à mener pour obtenir des fonds déclenchent un processus d’érosion dès l’entrée dans la profession.

      Dans ce contexte, l’articulation des tâches d’enseignement, de recherche et de services à la collectivité est perçue comme étant fort ardue par la majorité des participants à cette enquête. Ce problème d’équilibre à atteindre est décrié depuis plusieurs années déjà par l’ensemble du corps professoral. Mais pour un professeur en début de carrière qui doit préparer de nouveaux cours, se faire reconnaître comme chercheur, assumer de nouvelles tâches administratives et composer avec les pressions de l’évaluation à venir – sans que les critères ne soient toujours bien explicités –, la surcharge de travail est forte.

      Le problème de la conciliation travail-famille a aussi été abondamment rapporté. La moyenne d’âge des recrues au moment de leur embauche est de 38,5 ans et plusieurs professeurs ont des enfants en bas âge. Cette conciliation devient ainsi un enjeu de taille dans ce milieu où les heures de travail ne sont jamais vraiment comptabilisées. Si l’on se fie aux témoignages entendus, cette double responsabilité continue d’être plus difficile à porter par les femmes. Plusieurs hommes ont déploré que ce sujet reste tabou dans les départements et qu’être parent soit un obstacle à l’avancement dans la carrière.

      Revoir la préparation ou revoir le milieu ?
      Certains rétorqueront sans doute que les débuts de la carrière n’ont jamais été faciles et que la liberté académique, véritable privilège, mérite bien quelques sueurs. Certes, mais il reste que le défi actuel des universités est de renouveler le corps professoral et de le retenir. À la lumière des témoignages entendus, les conditions de travail et la culture du milieu sont au cœur de cet enjeu. La question à poser est donc la suivante : comment revaloriser la carrière professorale et rendre les universités attrayantes comme milieu de travail, particulièrement en début de carrière ?

      C’est au cours des études doctorales que le choix de devenir professeur se fait. Bien que les pourcentages varient d’une discipline à une autre, une moyenne de 50 % des étudiants au doctorat au Québec abandonnent avant l’obtention du diplôme. Parmi les diplômés, seuls 30 % choisissent la carrière professorale universitaire.

      Que se passe-t-il à cette étape pour qu’un si grand nombre de candidats potentiels choisissent une autre voie ? Le faible attrait pour la carrière s’explique-t-il par les exigences de la formation ou par le fait d’être exposé à une logique de travail qui n’a pas de sens ? La trajectoire menant à un poste de professeur d’université est un long périple qui nécessite un investissement majeur, tant en termes de disponibilité que de ressources matérielles. Une fois à l’emploi d’une université, le défi de l’insertion professionnelle reste de taille.

      Une mobilisation s’impose

    • #35666
      Carlos_Santos
      Participante

      Ola Ijunior,

      vc ja viu os topicos:

      Professor de nível médio em http://www.brasilquebec.com/brasilquebec/modules.php?name=Forums&file=viewtopic&t=2554

      – Professor – mas este a pagina nao abre, mas ele fica no mesmo forum do topico acima.

      Boa sorte

    • #35850
      Fortes
      Participante

      Pessoal,

      Estou pensando em migrar para o Quebec. Sou professor (licenciatura) de Geografia.
      Alguém tem notícia sobre o mercado de trabalho, ante a crise financeira atual?

      Obrigado

    • #54534
      Valzinhazinha
      Participante

      Olá

      Minha formação é Geografia Bacharelado e Licenciatura tbm, gostaria de saber se minha formação se enquadra no grupo 2 das profissoes prioritarias para imigrar para Quebec, no caso, se enquadra nessa Formation des enseignants au secondaire (BACC. – 4 ans), ou não??

      Alguém saberia me dizer alguma coisa??

      Já agradeço,

    • #54544
      SANDROMS
      Participante

      Valzinhazinha,

      Não sei dizer se os cursos seriam equivalentes, mas mesmo que sejam não são do grupo 2 a não ser que vc tenha um diploma do Quebec, veja que está marcada a coluna 2: Diplôme du Québec.

      EDIT: Enseignants/enseignantes aux niveaux primaire et préscolaire no GDP

      http://www5.hrsdc.gc.ca/NOC/Francais/CNP/2011/RechercheRapide.aspx?val65=4032

    • #54550
      Valzinhazinha
      Participante

      Huuummm

      É que achei que, quando diz ‘diploma do quebec ou equivalente’ poderia pedir/solicitar a equivalencia depois… mas também nao tenho idéia de como seria isso…

      Obrigada

    • #54551
      Valzinhazinha
      Participante

      Minha dúvida eh se como a minha formação eu posso aplicar para a imigração. já olhei as tabelas das demandas de 6 e 12 pontos – a unica opçao que taelvez me enquadraria seria na que citei acima Formation des enseignants au secondaire (BACC. – 4 ans), mas nesse o caso o diploma teria que ser do quebec, neh?

      além da graduação tenho mestrado e doutorado na área de geologia, mas nao sei se conta alguma coisa. Meu intuito seria ser professora universitária lá….

      Agora com as mudanças, nao sei se ainda tenho chance de aplicar… :roll:

    • #54552
      Helen Hartung
      Participante

      Valzinha, não entendo muita coisa da área de geologia, mas sei que é uma área muito fértil no Canadá. Não sei se vc como licenciada poderia trabalhar como bacharel em Geologia, pra conseguir escapar (somente no processo de imigração) da área de educação e conseguir se enquadrar em algo na Geologia. É apenas uma ideia!
      Att

    • #54553
      Valzinhazinha
      Participante

      Isso Helen

      Eh a unica luz que consigo ver para tentar a imigração, pela minha formação na área da educação… mas ainda resta a duvida se posso com o diploma daqui do Brasil, se pode fazer a equivalencia depois… :(

    • #54554
      larocque
      Participante

      @Valzinhazinha wrote:

      Olá

      Minha formação é Geografia Bacharelado e Licenciatura tbm, gostaria de saber se minha formação se enquadra no grupo 2 das profissoes prioritarias para imigrar para Quebec, no caso, se enquadra nessa Formation des enseignants au secondaire (BACC. – 4 ans), ou não??

      Alguém saberia me dizer alguma coisa??

      Já agradeço,

      Acho que posso ajudar na sua dúvida…

      Minha esposa é Professora de Geografia (Bacharelado e Licenciatura), e ela ficou assim classificada e é o que consta no CSQ dela:

      – Appellation d’emploi: Professeur au niveau secondaire
      – Domaine de formation (titre indiqué): Géographie (BACC. – 3 ans)

      Espero que essas informações possam ajudar!

      Abraço,

      La Rocque e Silvia.

    • #54558
      Valzinhazinha
      Participante

      La Rocque e Silvia

      Obrigada pela informação. Acredito que mesmo com as mudanças ocorridas em março de 2012, e como ainda consta na lista de demanda, resta uma esperança…

      Caso alguém tenha mais alguma informação, aguardo e já agradeço

    • #54569
      SANDROMS
      Participante

      @Valzinhazinha wrote:

      Isso Helen

      Eh a unica luz que consigo ver para tentar a imigração, pela minha formação na área da educação… mas ainda resta a duvida se posso com o diploma daqui do Brasil, se pode fazer a equivalencia depois… :(

      Valzinhazinha,

      para seu diploma ser aceito como equivalente no processo de seleção, você tem que fazer a equivalência antes. Em outros tópicos nesse forum foi discutido isso, e a conclusão que os membros chegaram é que a equivalência da ordem serviria, mas não lembro se alguém conseguiu confirmação oficial sobre isso.

      O problema é que, até que eu saiba, não existe ordem dos professores, sugiro entrar em contato com a federação dos professores do Quebec (é como um sindicato) e ver se eles fazem algum tipo de averbação do seu diploma com equivalência ao do Quebec.

      http://www.fneeq.qc.ca/fr/accueil/

      Ou opção dois (ideia da Helen):

      Coloca seu diploma de pós na jogada e tenta aplicar como: Géologie appliquée (DEC – 3 ans) – que é um curso de nível tecnologo e em teoria inferior em número de anos de estudo, mas pontua no grupo 2! Chegando aqui vc procura trabalho como professora.

      Boa sorte,

    • #54579
      RonaldoMaciel
      Participante

      Valzinha sua área de geologia (sobretudo por ter já um mestrado e doutorado) pode atrair fortemente empresas e mesmo o governo da província de Alberta, onde se concentra a exploração de petróleo do Canadá. Se vc tiver interesse também de trabalhar na área especificamente (e não como professora somente), pode ser uma alternativa.

      Tente dar uma olhada no program de Provincial Nominees de Alberta ou mesmo o processo federal (Federal Skilled Worker).

      Provincial Nominee Program (Alberta) – http://www.albertacanada.com/immigration/immigrating/ainp.aspx

      Federal Skilled Worker – http://www.cic.gc.ca/english/immigrate/skilled/index.asp

      Sorte.

      Residente Permanente desde Set/2009, cidadão desde Jul/2014 e mora na fascinante Montreal.

    • #54593
      Valzinhazinha
      Participante

      Boa noite

      SANDROMS e RonaldoeSusana

      Obrigada pelas dicas e estou olhando agora os links… confesso que está ficando mais claro pra mim, as possibilidades…

      Val

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