Reportagem interessante no jornal Métro

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    • #5518
      Ricardog
      Participante

      Olá pessoal,

      Lendo o jornal do Métro de ontem (11/02/2008), encontrei essa reportagem e achei bem interessante para nós futuros imigrantes.

      Abraços.

      Patience, Zineb!
      Il est frustrant de ne pas voir ses compétences reconnues

      Alain Samson

      IMMIGRATION
      Lors d’un récent passage à l’UQAM, j’ai eu la chance de rencontrer Zineb et son conjoint, deux récents arrivés du Maroc. Bien que diplômés dans leurs pays, ils ont de la difficulté à faire reconnaître leurs formations ici et ils doivent se contenter de travailler à autre chose en attendant. Quand je les ai rencontrés, ils venaient s’informer des programmes de mise à jour disponibles dans nos universités. C’est à Zineb, et à tous ceux qui se reconnaissent dans cette courte présentation, que j’aimerais m’adresser aujourd’hui.

      Ne jamais perdre espoir
      Premièrement, ne désespérez pas. Ceux qui ne souhaitent pas que vos diplômes soient reconnus protègent présentement leurs emplois. Mais ils sont sur le point de prendre leur retraite sans trop souvent prendre le temps de transférer leur savoir avant de tirer leur révérence. Une véritable crise de l’emploi se prépare au Québec. Ceux qui ont des compétences seront en demande d’ici très peu de temps. La nécessité est source d’invention et, tôt ou tard, ceux qui ignorent vos diplômes leur trouveront de grandes qualités quand ils auront besoin de vos services et qu’ils n’auront plus leurs propres emplois à protéger.

      Mot clé: formation
      Deuxièmement, allez chercher ce que vous pouvez en matière de formation. Vous y découvrirez en même temps les particularités qui font du Québec ce qu’il est. Ces formations locales auront un effet de levier et vous aurez plus de facilité à faire valoir vos compétences quand l’occasion se présentera. De plus, elles vous aideront à mieux entrer en contact avec les employeurs potentiels.

      Les régions, un endroit où aller
      Troisièmement, ouvrezvous sur l’ensemble du Québec. Il n’y a pas que l’île de Montréal et, déjà, en province, des entrepreneurs rêvent de vous rencontrer. Ils ont besoin de vous. Il est bien entendu qu’il peut s’agir pour vous d’une grande décision, mais il y a des gens qui rêvent déjà de vous voir prendre votre place dans leurs organisations. Il y a quelque part des entreprises dont la survie dépend de leur habileté à vous attirer. Il est également certain que vous rencontrerez un peu de résistance de la part des Québécois de souche, mais, puisque vous avez eu la force de quitter votre pays d’origine dans le but de vous construite un avenir meilleur, je sais que vous aurez la force de minimiser la portée de ces manifestations. Vous vous ferez une place ici à un moment ou à un autre. Concevez cette période d’attente comme un rite initiatique. C’est votre ticket d’entrée dans une vie meilleure. Et dites-vous bien que vos enfants profiteront, au bout du compte, des  sacrifices que vous faites actuellement. Je pense sincèrement que vous êtes arrivé au Québec au bon moment.

    • #25368
      lfantoniosi
      Participante

      Segue a resposta de um leitor imigrante francês:

      La patience
      a ses limites
      IMMIGRATION. Je ne peux
      m’empêcher de réagir à
      l’article de M. Alain Samson
      sur l’immigration («Patience,
      Zineb!», Métro, lundi
      11 février), car certains
      éléments qui sont avancés
      me dérangent. Je suis également
      un immigrant venant
      de l’Hexagone et je suis choqué
      (au sens français du
      terme) de lire des termes
      comme «d’ici très peu de
      temps», «tôt ou tard», «à un
      moment ou un autre», «rite
      initiatique», etc.
      Je voudrais tout de même
      signifier que lors du processus
      d’immigration, on nous
      a demandé de donner nos
      beaux diplômes. À ce
      moment charnière, la
      reconnaissance était bien
      là, car nous avons été
      acceptés. Je ne sais pas si
      vous le savez, mais le processus
      d’immigration se
      passe dans un amphithéâtre
      et un beau discours
      nous y attend. Je n’ai pas
      souvenir qu’on ait évoqué
      cette difficulté bien connue
      ici concernant la reconnaissance
      des diplômes. Je suis
      arrivé en 2004.
      Quel choc, lors de la phase
      de reconnaissance ici à
      Montréal, d’entendre que
      nos diplômes n’ont pas leur
      équivalence. J’ai trois
      diplômes, dont un fait dans
      une école supérieure. Je suis
      sorti soulagé de 100 $, mais
      avec aucune équivalence en
      poche. Merci beaucoup!
      J’ai bien essayé de prendre
      contact avec des entreprises,
      mais la réponse a toujours
      été la même : «Avez-vous une
      reconnaissance?»
      Côté reconnaissance professionnelle,
      c’est la même
      chose. J’ai rencontré des gens
      de pays divers avec des formations
      d’ingénieur, de comptable,
      etc. Et beaucoup ont le
      même sentiment. Il est tout à
      fait normal que l’on doive
      s’adapter aux normes en
      vigueur, mais encore faudrait-
      il nous laisser la chance
      de nous exprimer.
      Combien d’années faut-il
      attendre,et en attendant, on
      vit de quoi?
      Vous faites mention de formation,
      à juste titre. Mais il
      ne faut pas oublier une chose
      fondamentale. Les études
      coûtent très cher et pensezvous
      que les personnes qui
      arrivent peuvent se les payer?
      Quand vous dites «vos
      enfants profiteront des
      sacrifices que vous faites»,
      est-ce que ça veut dire qu’une
      génération de personnes est
      sacrifiée? Lorsque des gens
      décident de quitter leur pays,
      c’est pour améliorer leur
      condition de vie, pas pour
      être sacrifiés.
      J’aime beaucoup Montréal,
      mais je répondrai à Zineb et
      aux autres : plutôt que de
      galérer, de vivoter ou de
      dépenser tout ce qui reste
      d’économies, il faudrait
      peut-être penser à faire
      demi-tour avant qu’il ne
      soit trop tard.

    • #25370
      Malaman
      Participante

      Na conclusão final da resposta, ele faz a sugestão do imigrante ZINEB fazer um “demi-tour”. Qual o significado ? Trabalhar meio período em qualquer coisa ? É isso ?

      J’aime beaucoup Montréal, mais je répondrai à Zineb et aux autres : plutôt que de galérer, de vivoter ou de dépenser tout ce qui reste d’économies, il faudrait peut-être penser à faire demi-tour avant qu’il ne soit trop tard.

    • #25371
      raphaelcavalcanti
      Participante

      Ele quis dizer ao ZINEB para pensar em talvez dar uma meia-volta (retornar ao seu país de origem) antes que seja tarde demais (antes que gaste as economias que restam).

    • #25373
      Ricardog
      Participante

      Interessante ver os dois lados da moeda… Acho que o nosso sucesso lá será diretamente proporcional à nossa preparação, com muitas pesquisas, para que a surpresa seja a menor possível. Mas tenho certeza que todos temos grandes chances de sucesso, e que a maior parte do esforço para alcançá-lo depende de nós mesmos.

      Abraços,

      Ricardo.

    • #25379
      FamiliaRBG
      Participante

      Confesso que depoimentos como o do francês me assustam. Mas vemos, por outro lado, tantos outros depoimentos de gente que até consegue proposta de emprego sem nem ter chegado lá! Não sei, mas às vezes penso que há uma corrente que não deseja a presença dos imigrantes lá e por isso faz um pouco de terrorismo. Quem não sabe que ir morar em outro país é difícil? Quantas pessoas saem do Brasil, até como imigrantes ilegais, e se dão bem até nos EUA? Se temos medo de arriscar, então não devemos jogar. Se queremos tentar, buscar algo novo, mesmo que seja prá arriscar, na minha opinião, vale a pena. Não quero me arrepender do que não fiz, antes prefiro me arrepender do que fiz. Vou. Se não des certo, volto. Mas volto diferente, com uma nova visão da vida e do mundo. è só minha opinião.

      “Desconfie do destino e acredite em você. Gaste mais horas realizando que sonhando, fazendo que planejando, vivendo que esperando porque, embora quem quase morre esteja vivo, quem quase vive já morreu. “

      Abraços a todos!

      Suzane

    • #28954
      Butox
      Participante

      Caros,
      Segue reportagem de hoje (12/05/2008) do “Journal Métro”

      Les 6 mythes de l’immigration

      S’il y a un sujet qui a fait couler beaucoup d’encre au cours de la dernière année, c’est bien celui de l’immigration. Tous les points de vue ont proféré, les pour comme les contre, en plus, des mythes. Ceux-ci donnent souvent une image péjorative de l’immigration. Avec des experts de la question, Métro a tenté d’en démystifier quelques-uns.

      1 – «C’est facile d’immigrer.»
      Immigrer signifie quitter sa patrie pour s’établir dans un pays a priori étranger. C’est une expérience déchirante, selon l’avocat Julius Grey, qui a quitté sa Pologne natale à l’âge de neuf ans avec sa famille pour s’exiler au Canada. «Les gens ne savent pas à quel point les premières années sont difficiles, dit-il. Il faut une grande capacité d’ajustement.
      Même son de cloche du conseiller de ville, Marcel Tremblay, qui est responsable des questions concernant les communautés culturelles au comité exécutif de la Ville de Montréal. «On leur dit : “Viens-t-en à Montréal, tu vas être capable de survivre”. Ils
      viennent avec un rêve américain qui tourne rapidement au cauchemar», soutient celui dont la conjointe a immigré au Canada. Souvent mal préparés à leur venue dans un autre pays, ils tentent de s’en sortir comme ils le peuvent, a constaté à de nombreuses reprises M. Tremblay.
      2 – «Les immigrants volent nos jobs.»
      C’est sans doute le mythe le plus répandu, souligne le professeur de sociologie de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), Rachad Antonius. Selon lui, les nouveaux arrivants ont un effet très positif sur la croissance économique, même si, à leur arrivée, ils ont besoin d’aide.
      «Ce qui diminue le nombre de jobs, ce n’est pas le fait que des gens immigrent ici, c’est que les jobs migrent vers des pays dont l’économie est émergente, comme la Chine par exemple», rectifie M. Antonius.
      Julius Grey est du même avis, arguant que ce mythe de «voleur de job» n’est qu’une «obsession amère et revancharde». «Les emplois ne sont pas limités en nombre et les immigrants créent des emplois, souligne-t-il. Dans mon bureau, il y a dix employés.»
      3 – «Les immigrants sont incapables de s’intégrer à leur société d’accueil.»
      À maintes reprises, lors de la Commission Bouchard-Taylor, la capacité d’intégration des nouveaux arrivants a été décriée. L’histoire démontre que ce même discours a été émis il y a un siècle lors de l’arrivée des Irlandais aux États-Unis, rapporte le professeur Antonius. «On avait tellement peur de la nonintégration des Irlandais qu’on les considérait comme des Afro-américains, relate-til. Ils ont commencé à s’intégrer et ils sont passés, dans la conscience populaire, de noir à blanc. Et ça, on l’a vu avec toutes les communautés qui étaient un peu différentes.»
      Rachad Antonius ajoute que les médias ont tendance à mettre en évidence ce qui choque et étonne, escamotant ainsi les multiples histoires d’immigrants qui se sont parfaitement intégrés.
      4 – «Les immigrants restent immigrants à vie.»
      Sommes-nous définis en large partie par notre pays d’origine? Est-ce que le concept d’appartenance est figé? Ou est-il assez malléable pour qu’un immigrant cesse d’être considéré comme «l’étranger»? Selon la professeure de l’École de travail social de l’Université du Québec à Montréal, Ginette Berteau, il y a des étapes au processus d’intégration d’un immigrant et, rendu à l’une d’elles, il se sent inclus à la société et il devient un citoyen actif.
      «Il y a probablement plusieurs personnes qui ne se sont pas senties assez accueillies pour faire le passage», précise-t-elle en contrepartie.
      L’âge peut parfois brouiller les cartes, selon l’avocat Julius Grey. «Un adulte va sûrement demeurer un immigrant à vie, mais un enfant non», nuance-t-il.
      Si des immigrants ne considèrent pas qu’ils font partie intégrante de leur société d’accueil, c’est qu’ils ont, dans certains cas, l’espoir de retourner dans leur pays d’origine. «C’est pour cela que, parfois, ça prend plus qu’une génération pour d’une famille s’intègre», explique Marcel Tremblay.
      5 – «On les reçoit. C’est bien assez!»
      Près de 28 000 immigrants débarquent chaque année à Montréal. Certains ont préparé leur exil longtemps à l’avance, mais d’autres ont été forcés de quitter leur patrie sur un coup de tête. Il faut les aider à trouver leurs repères, selon le responsable des communautés culturelles à la Ville de Montréal, Marcel Tremblay. «Il faut leur expliquer comment on fonctionne, dit-il.
      Par exemple, on peut juste leur montrer où on trouve de la nourriture. C’est aussi simple que cela, mais il faut que quelqu’un leur dise.
      Pour le professeur de l’UQAM, Rachad Antonius, une ouverture des deux côtés est nécessaire. «C’est normal qu’on fasse des accommodements, mentionne-t-il. Le mythe, c’est de penser que ces accommodements sont tellement gros qu’ils vont tout
      changer.»
      D’un autre côté, c’est faux de penser que ces accommodements se feront sans heurts, indique M. Antonius. Des problèmes surviendront, les tensions s’intensifieront, mais ce ne sera pas dramatique, selon lui.
      6 – «Le Québec est raciste.»
      La Belle Province est-elle vraiment raciste ? L’an passé, le Journal de Montréal en a fait douter plus d’un lorsqu’il rapportait dans un sondage Léger Marketing que 59 % des Québécois s’avouaient racistes. Qu’en est-il vraiment? «On soupçonne souvent
      l’expression du nationalisme québécois être du racisme, ce qui est faux», avance Julius Grey. Selon lui, toute forme de racisme est condamnable, qu’elle vise les différentes communautés culturelles ou les francophones.
      Dans cette même ligne de pensée, Marcel Tremblay croit qu’un manque de connaissances qui occasionne souvent des mauvaises perceptions. «Dans une grande ville comme Montréal, il y en a moins de ces difficultés parce qu’il y a beaucoup de communautés culturelles», soutient-il.

    • #29045
      Dewet
      Participante

      Bem…. minha professora de francês é francesa e tem um primo que foi tentar a vida no Canadá e voltou para Paris.
      Nós conversamos sobre o assunto e chegamos a conclusão que o maior problema, no caso dele, foi a de não conseguir emprego no mesmo nível que ele trabalhava na França. Ele é engenheiro e gerente em uma empresa e foi para o Canadá esperando encontrar um emprego do mesmo nível, não se sujeitando a cargos “inferiores”.
      Chegamos também que esta é uma atitude comum de cidadãos de países de “1º mundo” que tentam imigrar.
      Acredito que seguindo o conselho que é dito e repetido todos os dias aqui no CBQ não tem como não dar certo: “Estude muito sobre o País, região e cidade para qual você pretende ir, tenha um projeto consistente e realista, tenha em mente que seu nível sócio-econômico irá cair (pelo menos no início), imigrar é difícil e requer um grande dose de boa vontade e nunca esqueça que você é o corpo estranho no novo país, é você que tem que se adaptar.

      Uma imigração de sucesso começa nos preparativos.

      Abraços,

      Dewet Virmond

    • #29120
      Reeve
      Participante

      Endoçando  o colega acima: Imigrar é o mesmo que mudar de bairro, ou de cidade só que em uma p´roporção muito maior, não podemos esquecer que alem da grana gasta em todo o processo, se vc decide viajar 20 horas de avião para outro país é pra dar certo!!!!

      Aqui no Brasil comemos grama, ralamos, estudamos, tentando estar sempre nos aprimorando e muitas vezes o emprego paga as contas e sobra pouco ! Se aqui vc faz tudo isso por anos e nao tem sequer – com as mudanças del leis trabalhistas – perspectiva de segurança no serviço, lá pelo menso você sabe qeu pode c omeçar de baixo e viver dignamente, diferente daqui que vc vende o almoço pra comprar a janta !

      Pesquisa é fundamental, pode parecer bobagem, mas temas como: clima, bairro, transporte, custo de vida, preço de remedios, de alimentos, salario minimo, aluguel…tudo isso pesado e repesado, é que vai fazer a diferença ente o sonhador e o realista !!!!!

    • #29224
      Butox
      Participante

      Essa não é do Journal Métro mas não quis criar outro tópico. Ela é do “Forum Hebdomadaire d’information” da “Université de Montréal”
      De qualquer forma é bastante interessante. Segue o link:

      Un symposium pour contrer l’exode des cerveaux

      trecho da reportagem

      “Environ 8000 Québécois anglophones, dont 70 % des diplômés bilingues de talent, quittent chaque année le Québec pour aller travailler ailleurs au Canada ou dans le monde, notamment aux États-Unis, selon une récente étude de Patrimoine canadien et de l’Université Carleton.”

      Abraços

      Rodrigo

    • #29284
      Butox
      Participante

      Entrevista com Yolande James la ministre de l’Immi­gration et des Communautés culturelles

      Entrevue avec Yolande James: l’immigration, le défi

      Amusez-vous!!

      Rodrigo

    • #29289
      Anonymous
      Participante

      Rodrigo,

      O final é de arrepiar. Muito emocionante e legal a entrevista.

      Valeu,

      Jean

    • #29634
      Butox
      Participante

      Reportagem de 09/06/2008 do Cyberpresse. Muito importante para nós. As coisas estão mudando…..

      Immigration: le projet de loi des conservateurs adopté

      Abraços

      Rodrigo

    • #29638
      mkch
      Participante

      Fiquei com algumas dúvidas depois de ler a reportagem…
      Será que mesmo conseguindo o CSQ o processo federal fica mais complicado?
      E outra coisa, será que essa data de mudança conta para quem ainda não tinha dado entrada na parte federal mas já tinha começado o processo via Quebec?

      Espero que não…

    • #29643
      canonmarques
      Participante

      Gostei da matéria! Creio que será boa para os processos de imigração.
      Excelente contribuição Butox…

    • #29752
      Butox
      Participante

      Olá a todos.
      Segue uma notícia ruim, do Journal du Métro de hoje. Passou também no jornal da Radio Canada, que passa as 06:30 da manhã todos os dias na TV5.

      Air Canada réduira sa capacité de 7 pour cent: jusqu’à 2000 emplois seront perdus

      Saiu também uma propagada no mesmo jornal com vários preços de vôos e com a frase embaixo:
      Le supplément des frais de carburant n’est pas inclus dans les tarifs : il varie de 20 $ à 50 $ par aller simple en Amérique du Nord et de 65 $ à 220 $ par aller simple pour les destinations soleil et internationales.

      Abraços

      Rodrigo

    • #30298
      Anonymous
      Participante

      Olá a todos,

      Lendo o jornal metro de hoje, vi a seguinte reportagem. (Pag 8 no final da pagina) que fala sobre imigração.

      http://www.4shared.com/file/54618569/ea959789/Imig_Jornal_Metro_10_07_08.html?

      Boa leitura e um abraço,

      À tantôt,

      Jean

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